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Les FLORIANES sur le Web

jeudi 26 octobre 2006, par Président du conseil Syndical

Un matin du mois de juillet, mon portable sonne... Je décroche :
- Bonjour !
- Bonjour ?
- Françoise JUERY du mensuel Le Particulier, j’écris un article sur les Conseils Syndicaux et je voudrais vous interroger !
- Ah !
- Je suis tombée, il y a trois ans déjà, sur votre site Internet et je suis très impressionnée, d’autant qu’il existe toujours.
- Ah ben oui, c’est sérieux quand même...
- On peut se parler ?
- Bien sur !
- On peut parler du site ?
- Avec plaisir...

Et c’est ainsi, que pour la première fois, j’allais devenir célèbre ! (J’exagère). Après une petite causerie d’une heure, Françoise JUERY m’a proposée de m’envoyer l’exemplaire d’octobre, dans lequel il y aurait le fameux article.

Effectivement, chose promise...
Au mois d’octobre j’ai reçu dans ma boîte aux lettres deux exemplaires du mensuel. J’ai même eu l’autorisation de reproduire sur le site le passage concernant les FLORIANES. En voici l’extrait :

Quant à Hervé Chaussende, président du conseil syndical de la résidence « Les Florianes » à Gerland près de Lyon, il revendique sa qualité de « client » du syndic tout en se félicitant de travailler en bonne intelligence avec lui. Et en s’interdisant de l’interpeller à tout propos. « Nous sommes des adeptes de l’autonomie et de l’anticipation et le site Internet de l’immeuble (voir encadré) évite bien des interrogations de la part des copropriétaires qui, faute de ce vecteur, seraient formulées soit auprès du syndic soit du conseil syndical » explique-t-il.
Il estime qu’il faut, avant tout jouer la transparence, s’interdire les tabous et les états d’âme. Ainsi, toutes les entreprises en place à l’origine de la copropriété, il y a six ans, ont-elles été impitoyablement éliminées. Les travaux sont programmés longtemps à l’avance et les cahiers des charges ne négligent aucun détail, afin de prévenir tous les écueils. Une collaboration qu’Anne Pernot, gestionnaire chez Icade Lyon-centre, syndic des Florianes, apprécie sans réserve : « Si j’avais un souhait à formuler, ce serait que tous les présidents de conseil adoptent le même comportement car il n’y a rien de pire qu’un conseil syndical passif ou inexistant. » affirme-t-elle.