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Agence OTIS

mercredi 18 juillet 2001, par Président du conseil Syndical

Service de LYON
3, Rue CHAPPE
Parc TELEBASE
69 370 St Didier au Mt D’OR

Madame,

J’ai la désagréable tache de vous adresser ce courrier, étant malheureusement très désappointé par la réactivité de vos services, je devrais peut être écrire la non-réactivité.

Vous détenez le contrat de maintenance “DES FLORIANES” de Gerland.
Suite aux actes de vandalisme et aux dommages qu’a subis notre cabine d’ascenseur, vous avez reçu plusieurs ordres de réalisation de travaux émanant de M. Jean-Yves CARROLLE de la société GFF VERZIER, notre syndicat de copropriété. Ces demandes sont restées sans effet.
Je m’adresse à vous directement en ma qualité de Président du conseil syndical de copropriété en souhaitant avoir plus de succès dans ma démarche que M. CARROLLE.

En avril 2000, la vitre de protection de l’indicateur d’étage a été rayée. J’ai demandé son remplacement... Rien !
En octobre 2000, quelques semaines après l’installation du code d’autorisation de descente de cabine au sous-sol, une tentative d’effraction a détérioré le bandeau blanc de décoration servant de cache à l’éclairage intérieur et de support aux boutons de commande de la cabine. J’ai demandé son remplacement avec un succès identique.
Lors de l’installation de cette sécurité, j’ai demandé à votre commerciale de prévoir une fois par année le changement du code. Ceci pour des raisons de confidentialité, car nous connaissons énormément de déménagements et emménagements dans notre résidence.
Je n’ai toujours pas de confirmation du bon enregistrement de ma demande auprès de vos services.
J_ e réitère cette demande. Il serait souhaitable d’effectuer le changement de ce code d’ici le mois de septembre. Je laisse à la discrétion de vos services le choix des chiffres composant le nouveau code.

OTIS n’étant pas en véritable concurrence sur ce segment de marché (notre contrat de maintenance est maintenant signé), je comprends très bien, que vous vous autorisiez à nous traiter d’une façon quelque peu cavalière.

Mais, je ne comprends pas, cette attitude poussée jusqu’au « boutisme », au point de refuser du travail pour lequel vous serez payés ? Cela reste une énigme pour moi !

Si ce courrier ne rencontrait pas le succès escompté, je m’emploierais dans les semaines à venir à trouver une solution pour amener OTIS à réaliser l’ensemble des demandes d’interventions figurant sur ce courrier.

En comptant sur votre diligence, veuillez agréer, Madame, l’expression de mes sentiments les meilleurs.

Copie : M. Jean-Yves CARROLLE, Conseil Syndical DES FLORIANES